La critique des États-Unis a pris son essor, au sein de la Nouvelle Droite, après la parution fin 1975 du numéro de Nouvelle École sur l’Amérique (dont la matière a été reprise dans un livre publié en langue italienne, puis en allemand et en afrikaans). Elle est une sorte de conséquence logique de la distinction que nous avions faite alors entre l’Europe et l’Occident. Elle est depuis restée plus ou moins constante. On aurait tort cependant de l’interpréter comme relevant d’une quelconque phobie. Je suis allergique à toutes les phobies, à l’américanophobie comme aux autres. L’un des numéros d’Éléments publié voici quelques années avait d’ailleurs pour thème «L’Amérique qu’on aime» ! Je ne suis pas non plus de ceux qui critiquent l’Amérique sans la connaître. J’y suis allé maintes fois, j’y ai séjourné à plusieurs reprises, je l’ai sillonnée en tous sens […]
J’ai toujours eu la plus vive admiration pour le grand cinéma américain quand il ne se ramenait pas encore à une accumulation de …
J’ai toujours eu la plus vive admiration pour le grand cinéma américain quand il ne se ramenait pas encore à une accumulation de …